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Salle de première pression à froid. A "pressa" .Cet élément indispensable du pressoir presse les escourtins
ampilés les uns sur les autres.
Ces escourtins sont bourrés de pâte d'olives, et sont assez poreux pour laisser s'écoulée l'huile dans les deux cuves situées sous la presse.
2002. |
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La seconde salle du pressoir pour la
deuxieme pression à froid.
La mule était attachée au pilier de bois
et faisait tourner la roue sans peine grâce aux rouages.
2002.
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Ce pressoir date de 1950: c'est le plus
moderne. Il fonctionnait grâce à un moteur à explosion.
A l'origine situé dans la salle de deuxième pression à froid, il fut déplacé à l'extérieur en décoration pour soutenir le bouguinvilier.
2002. |
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Salle de deuxième pression à froid.
A droite, remarquez les bacs de décantation dans lequels l'huile mélangée à l'eau remontait à la surface pour etre récupérée.
2002. |
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La première pression à froid.
Les olives étaient directement jetées
dans la "conca". Le mulet faisait tourner la roue "a macina" et on obtenait ainsi une première pâte d'olives qui plut tard pressée donnera l'huile de consommation.
2002. |
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Salle de première pression à froid. "A caldaghja".
Pour assurer le nettoyage des outils, jarres et autres instruments, une marmitte remplie d'eau bouillante fonctionnait en permanence.
Une trappe sous la marmitte permettait d'alimenter le feu pour chauffer l'eau.
2002. |
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Salle de première pression à froid. Ce pilier de bois permettait de descendre et remonter la presse sans peine grâce
à un système de poulies qui décuplait la force.
A gauche une des grandes jarres dans laquelle l'huile de consommation était stockée.
2002. |
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Salle de première pression à froid.
Au fond, "a conca" qui contient la pâte d'olives.
A gauche "a pressa" pour presser cette pâte et obtenir l'huile de première pression à froid.
2002 |
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Salle de deuxième pression à froid. Zoom sur les rouages du pressoir.
L'huile obtenue par cette seconde pression à froid était l'élément de base pour la fabrication des savons de Marseille.
2002.
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Salle de première pression à froid. L'"imbracca" servait à attacher le mulet.
2003 |
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Pressoir de 1950.
Cette roue dentée était reliée à un moteur à explosion.
2003.
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Salle de première pression à froid. "U buligatori"
Cette pièce en fonte située dans la "conca" brassait les olives pour qu'elles soient ainsi toutes écrasées sous la roue de granit massif " a macina" .
2003. |
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Une jarre qui contenait l'huile de consommation.
2002. |
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Salle de deuxième pression à froid.
Mini-pressoir où l'on retrouve les mêmes pièces que pour la 1ère pression.
La roue de granit "a macina", "u buligatori" qui remue la pâte d'olives de la première pression.
2003. |
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Salle de deuxième pression à froid. Zoom sur les rouages en bois.
2003. |
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Salle de première pression à froid.
Au centre l'"arburi", pilier de bois qui porte "a macina", la roue de granit massif et "a stanga", accrochée à la perpendiculaire au bout de laquelle le mulet est attaché.
2003 |
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Salle de première pression à froid.
Zoom sur "a macina", roue de granit massif.
2003 |
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Pressoir de 1950.
Cette roue dentée était reliée à un moteur à explosion.
2003 .
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Salle de première pression à froid.
Les principaux éléments de cette salle sont réunis sur cette vue. Septembre 2003. |
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Salle de deuxième pression à froid.
Les bacs de décantation. L'huile mélangée à l'eau remontait à la surface (densité). Récupérée minutieusement à la louche, elle était vendue aux savonneries de Marseille. Septembre 2003 |
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Salle de deuxième pression à froid. Ce pressoir se situe en hauteur. Lavées par l'eau qui arrive du lavoir situé en haut du village, l'huile et l'eau s'écoulent vers les bacs de décantation. L'huile remonte ensuite à la surface (densité) pour etre récupérée à la louche. Août 2004. |
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Salle de première pression à froid. Gros plan sur la "presse", objet indispensable du pressoir à huile. Remarquez les poids de fonte qui permettent d'alourdir la presse pour recupérer le maximun d'huile de consommation. Août 2004. |
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Salle de première pression à froid. Empilement d'escourtins (sacculeddi), sur lequel "u casteddu" était posé pour repartir le poids de la presse sur tous les escourtins. Août 2004. |
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Salle de deuxième pression à froid. Vue d'ensemble. Remarquez le pilier sur lequel était accrochée "l'imbracca".Cet élément permettait d'attacher le mulet qui faisait tourner les rouages du moulin. Août 2004. |
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Vue sur le pressoir moderne (1950)deplacé à l'exterieur pour décorer le restaurant. A noter que les roues sont taillée dans la pierre volcanique. Aôut 2004. |
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Soirées d'hiver dans le pressoir.
Les tables sont pretes à accueillir les clients.
Soupe basque en entrée.
Pulenta, figatelli, brocciu et oeuf pour le plat de résistance.
Tarte aux pommes pour le dessert.
Fevrier 2007. |
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Soirées d'hiver dans le pressoir.
Les feux de cheminés crépitent pour rechauffer les salles du moulin à huile.
Février 2007 |
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Exposition des toiles de Jocelyne Pangrani dans le moulin à huile.
Eté 2006. |
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Exposition des toiles de Jocelyne Pangrani dans le moulin à huile.
Eté 2006. |
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Toile de Jocelyne Pangrani sur le thème du Feu.
Eté 2006. |
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Exposition de masques crées à partir d'os d'animaux.(Artiste Didier Luciani)
Juillet et Août 2007. |
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Exposition de masques crées à partir d'os d'animaux dans la salle de première pression à froid.(Artiste Didier Luciani).
Juillet et Août 2007. |
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Exposition de toile dans le pressoir.(Artiste Lelia Giovacchini).
Juillet et Août 2007. |
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Exposition de masques crées à partir d'os d'animaux sur la presse.(Artiste Didier Luciani).
Juillet et Août 2007. |
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Exposition de toile dans le pressoir.(Artiste Lelia Giovacchini).
Juillet et Août 2007. |
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Exposition de toile dans le pressoir.(Artiste Lelia Giovacchini).
Juillet et Août 2007. |
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Exposition de toile dans le pressoir.(Artiste Lelia Giovacchini).
Juillet et Août 2007. |
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Exposition de toiles dans le pressoir.(Artiste Lelia Giovacchini).
Juillet et Août 2007. |